Ce programme, pour lequel le gouvernement a mobilisé une enveloppe financière de 2,25 milliards de dirhams (MMDH) au titre de l’année 2022 a déjà commencé à donner des résultats, a assuré M. Sekkouri.
Et de souligner que son département veille à ce que ce programme remplisse ses missions, et ce conformément aux critères de l’efficacité, la transparence et la gouvernance, notant que le grand souci étant « la bonne gestion du budget alloué à ce programme ».
A cet égard, le ministre a rappelé la convention signée entre le ministère délégué chargé du Budget, la caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) et l’Agence Nationale de Promotion de l’Emploi et des Compétences (ANAPEC), pour déterminer les dépenses du budget du programme, en plus de la création d’un système informatique au niveau de la CNSS et l’ANAPEC pour gérer l’opération de l’identification des bénéficiaires et le versement de leurs salaires.
Le ministère a opté pour une gestion régionale du programme, notamment, au niveau provincial, vu la disponibilité des structures nécessaires à sa mise en œuvre, notamment les préfectures, les conseils provinciaux, ainsi que les services extérieurs des ministères et les différentes antennes de l’ANAPEC, a-t-il dit, ajoutant que les comités régionaux chargés de sélectionner les ateliers seront à même de modifier certains critères en fonction des besoins de la province.